GESTION D’ACTIFS : L’ART, LE TROISIÈME ÉLÉMENT

Le Nasdaq bat des records, l’or monte de jour en jour.
Les investisseurs en valeurs mobilières sont gâtés et ne cessent de faire des émules, car les boursicoteurs sont de plus en plus nombreux depuis la crise du Covid-19.
Les banques centrales ont ouvert les vannes avec le Quantitative Easing (QE) consistant pour une banque centrale à racheter massivement des titres de dettes aux acteurs financiers.
Il y a bien sûr l’immobilier qui reste une valeur sûre surtout si l’on suit la règle du bon emplacement des biens et qu’on les exploite en assurant la gestion immobilière de ceux-ci.
Il faut rester prudent sur la possession d'un immeuble d'habitations comme on le serait d’un investissement avec lequel on souhaite faire un profit immédiat comme une valeur boursière.

Il y a une autre voie : c’est l’Art.
L’unicité d’un tableau vous assure une plus-value future.
Il y a les grands maîtres contemporains qui eux sont spéculatifs comme par exemple Marc Chagall, dont vous pouvez voir sur l’image – La poule aux oeufs d’or - inspirée des fables de la Fontaine, estimé chez Sotheby’s à Londres entre 330 000 – 460 000 US, il n’est pas extravagant de penser que dans quelques années cette œuvre aura doublé.
Si les grands maître font des plus-values spectaculaires, il y a des œuvres moins médiatisées qui feront assurément leur chemin vers des rendements satisfaisants.

Jean-Claude Sensemat, Gestion-Geneen.com
Montréal, 23 juillet 2020