Le secrétaire américain au Trésor, Steven Mnuchin, a déclaré jeudi : "Les États-Unis ne fermeront pas de nouveau leur économie en cas de deuxième vague de COVID-19."
Les journalistes ‘’économiques’’ exploitent tous les détails des chiffres de la pandémie pour alarmer les investisseurs, surtout ceux qui sont le plus dépourvus de professionnalisme.
Les joueurs qui n’hésitent pas à emprunter pour acheter des actions quand celles-ci montent pendant plusieurs jours, et qui à la moindre analyse fumeuse paniquent et vendent dans l’urgence.
Il est vrai que le virus chinois a abîmé l’économie mondiale qui a contraint un bon nombre de pays à confiner sa population.

Alors que nous aurions pu nous mettre en confinement mutuel en portant chacun un masque, ce qui nous aurait isolés immédiatement du virus, et en observant les mesures sanitaires de distanciation physique et de lavage des mains.
A tout moment, on vous parle à la télévision d’une deuxième vague, d’une troisième et même d’une quatrième.
Il y a des collectifs de médecins qui demandent de rendre les masques obligatoires face à des dirigeants de la santé publique qui se montrent réticents, uniquement pour justifier que pendant trois mois, ils nous ont asséné que le masque n’était pas utile alors même qu’il en manquait dans beaucoup de pays.
Il était simple de demander aux familles de faire des masques "maison".
Les gens ont besoin de travailler, de consommer, de vivre car cette panne économique, organisée par l’OMS, ne pourra pas être renouvelée.
Elle sera immédiatement submergée par un besoin vital de liberté.

Jean-Claude Sensemat, Gestion-Geneen.com
Montréal, 11 juin 2020