DE WALL STREET AU TSX DE TORONTO
Investir en bourse n’est pas à la portée du premier venu.
Pour ceux qui ont un petit portefeuille, il doit être constitué de sommes dont ils n’ont pas besoin pour leur fonctionnement de vie.
Pour les professionnels, ils doivent gérer pour leurs clients des sommes importantes pour faire face à n’importe quelle crise, car ils seront nourris des dividendes ou d’autres ressources comme les actions privilégiées (Canada).
C’est un métier qui nécessite d’être entouré d’experts ayant vécu plusieurs crises et qui soient très réactifs.
La pandémie du Covid-19, n’est pas une crise comme les autres, elle nous est tombée dessus de façon brutale.
Alors qu’une crise financière est le fruit de dysfonctionnements de la société, ce n’était vraiment pas le cas en Amérique du nord surtout aux États Unis où son président est très sensible aux bons résultats de Wall Street.
Sitôt l’arrivée de la pandémie, les banques centrales ont baissé les taux et décidé de soutenir les économies en injectant des quantités astronomiques de milliards sur le marché monétaire pour lutter contre la déflation.
Les invisteurs avisés savent bien que l’on retrouvera ces sommes sur les marchés boursiers.
A la fin du confinement, « L’économie ne s’effondrera pas, d’abord pour des raisons bien évidentes : peu importe ce qui arrive, les gens doivent continuer à faire des échanges économiques », écrit Francis Vailles journaliste économique.
Notre Partenaire et conseil de chez ScotiaMcLeod écrit :
"Il peut être difficile de conserver ses placements en période d’hypervolatilité des marchés. L’histoire a cependant montré que les replis des marchés sont généralement suivis de fortes remontées. Les investisseurs qui vendent leurs placements en période de recul risquent de rater des rendements supérieurs à la moyenne une fois que les marchés se redressent.
De plus, d’importants dysfonctionnements des marchés peuvent offrir des occasions de placement intéressantes."
Jean-Claude Sensemat, Gestion-Geneen.com
Montréal, 03 mai 2020